Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

Whisky Wine N' Beer

Whisky Wine N' Beer
Publicité
Archives
21 février 2014

Paul Jaboulet Ainé (Tain-l'Hermitage) ***

Jaboulet - Domaine des grands Amandiers Condrieu 2010

Couleur : paille, reflets verts.

Nez : très fermé, peut-être un vin trop jeune, seulement un peu de vanille et d'abricot.

Bouche : bonne acidité, boisée, vanillée, un peu beurrée, notes classiques d'abricot, peu de fruits, pas très expressive. Clairement un vin dans une mauvaise phase.

Finale : bien, vanillée.

Note : 14/20. Un vin peu expressif en ce moment.

jaboulet

Elevage : en barriques pendant 10 mois.

Rendements : 20 hl/ha.

 

 

Soirée LPV Rhône 2 :

4 - Jaboulet - Hermitage blanc 2009 "Chevalier de Stérimberg" : bien plus foncé que les précédents, contours verts. Nez très boisé et vanillé, plusieurs d'entre nous le placent sur Meursault. Bouche très boisée aussi, mais bonne acidité dans le fond, finale fraîche. Vraiment pas mon style de blanc.

 

10 - Jaboulet - Hermitage "La Chapelle" 2003 : couleur plus sombre que Beaucastel 2001, nez sur les fruits noirs et rouges, un peu cuits, épices, réglisse. Comme Beaucastel bonne fraîcheur en bouche, peut-être encore plus ici, mais les tanins sont encore assez raides. A attendre encore un peu peut-être. Comme Beaucastel c'est bon, mais pas plus.

 

 

Jaboulet - Crozes Hermitage rouge les jalets 2021 : léger, facile, sent la syrah, un peu maigre et dilué, simple, mais correct. B+.

 

Jaboulet - Hermitage blanc Sterinberg 2005 : robe dorée, nez puissant, un peu beurré, avec de l’ananas, du caramel. Bouche très puissante, solaire, massive, manque de fraîcheur et de finesse à mon goût, pas mal de longueur cependant. B.

 

 

Jaboulet - Hermitage blanc Chevalier de Stérinberg 2001 : Couleur dorée, nez très exotique ananas, beurré, gourmand, élevage bien mieux intégré que sur le 2009 ou 2005. Bouche plus austère que le laissait penser le nez, sur les agrumes, très sèche, bonne fraîcheur, quelques amers en finale à peine trop marqués pour chipoter. TB.

 

 

Jaboulet - Hermitage blanc chevalier Sterimberg 1997 : couleur or profond, nez très évolué champignon, truffe, fruits secs, fumée presque tourbée, viande fumée, très complexe, intrigant. La bouche fait un peu moins évoluée que le nez, épaisse, à la puissance fondue, où l’on retrouve l’aromatique du nez, pas forcément une grosse acidité mais de beaux amers qui maintiennent l’équilibre, même étonnamment digeste pour un Sterimberg, très long. Beau vin de gastronomie, pile à point. TB++.

 

Publicité
Publicité
20 février 2014

Château Chasse-Spleen (Moulis-en-Médoc) ***

Soirée LPV Rhône 2 :

Chasse-Spleen - Moulis 1989 : (ouvert à la dernière minute), couleur grenat, contours tuilés, superbe nez, classique, tabac, cèdre, prunes, fruits noirs, assez frais, évolué mais il a encore de belles années devant lui. La bouche est un peu en-dessous, il a du mal derrière le VdN, elle est un peu sèche, pas une grosse matière, manque un peu de fruits. Belle longueur. Un vin qui valait vraiment le coup rien que pour le nez.

 

Chasse-Spleen - Moulis en Médoc 1995 : vin évolué, légèrement tuilé, nez sur le sous-bois, le tabac, quelques fruits noirs, bouche un peu sèche, pas une grosse matière, bonne longueur cependant. Un peu en-dessous du 1989. B.

 

20 février 2014

Terrasses d'Eole (Mazan) ***

Cissampo 2009, Ventoux, Terrasses d'Eole

CR de Julien : "La robe est sombre.
Alors là, le nez, ça envoie du paté, comme la bouche d'ailleurs...On est à fond sur les fruits noirs, le cassis, la cerise noire bien mûre avec une légère sucrosité, l'écorce, le zeste d'orange, le cacao mais aussi un très frais apporté par le menthol. Assez surprenant et très envoutant!
La bouche est superbe, c'est très ample, volumineux, c'est dense! Et pourtant le grain de tanin est élégant et ça reste super frais. C'est très long en bouche et il y a cette sensation de "mâche". Très beau vin!
(à noter que lorsque je suis revenu sur le nez après, il m'a paru un peu plus brouillon)"

Vin puissant, assez chaud, on sent le millésime 2009, confituré, avec une superbe texture et des tannins très fins. Très beau vin. 17,5/20.

P1030320

 

Goûtés lors du Vinidôme 2014 :

Terrasses d'Eole - Côtes du Ventoux "Mistrau" 2011 : (majorité syrah, grenache), fruits rouges et noirs très mûrs, mais reste frais, puissant, tanins très fins, belle texture, un peu d'épices. TB. (+- 17/20).

Auro Rosso 2009 : asssez boisé, moins de fruits que les autres. B-.

Cisampo 2011 : fruits très mûrs, très belle texture là aussi, tanins fins, mais un peu trop sucré par rapport à "Mistrau". TB-.

 

Soirée LPV Rhône 2 :

Terrasses d'Eole - "Vent di Damo" IGP Méditerrannée 2012 : (100% viognier), viognier classique, abricot, fleurs blanches, bouche assez grasse, l'élevage se sent un peu trop à mon goût. Légère amertume en finale. Manque de tension. Un peu moins bien que le précédent.

Terrasses d'Eole -"Auro Rousso" Côtes du Ventoux 2009 : très foncé, contours violets. Nez sur les fruits noirs, un peu de menthe et d'épices. Tanins bien présents en bouche mais assez fins. Reste frais. Je l'ai bien mieux goûté ce soir là qu'il y a quelques semaines au Vinidôme.

 

Terrasses d’Eole – Auro Rousso Ventoux 2010 : robe foncée, qui semble concentrée, beau nez très marqué confiture de cassis et de mûre, cacao, un peu vanillé dans le fond. Bouche très gourmande, avec de la matière, mais surtout des tannins parfaitement enrobés, c’est très soyeux, toujours sur le cassis, un peu vanillé, très bon servi assez frais, un peu chaud sur la fin de verre à température plus élevée. Très bon vin, comme le 2009 qu’on avait bu dans une précédente soirée. TB.

 

19 février 2014

Beaucastel (Courthézon) *****

Grand domaine d'une centaine d'hectares, en bio, le Château de Beaucastel appartient à la famille Perrin (qui possède aussi des vignes un peu partout dans le Rhône méridional). C'est aujourd'hui César et François qui sont à la tête du domaine avec Claude Gouan au chai. Les vignes sont principalement situés à Courthézon au Nord de l'appellation, en partie sur des sols de galets roulés, avec les 13 cépages. Les rouges sont plutôt travaillés sur la finesse même si les terroirs chauds leur apportent suffisamment de concentration. La cuvée Hommage à Perrin (mourvèdre majoritaire) est plus puissante et doit être attendue longtemps. Les blancs sont opulents, taillés pour la garde, ils retrouvent après quelques années une certaine fraîcheur et de beaux amers.

 

 

Chateauneuf du pape blanc VV 2008 (100% roussanne)

Très belle couleur or intense et brillante

Nez : sur l'abricot et surtout sur les zestes d'orange, on trouve aussi des amandes grillées et un côté floral.

Bouche : la texture est grasse mais moins que ce à quoi je m'attendais pour un CdP blanc. Le vin est très puissant sans que ce soit gênant. Avant de carafer la bouteille une bonne heure, il y avait un peu de poivre blanc qui a complètement disparu avec l'aération. Seul petit bémol : léger manque d'acidité (mais bon, on est dans le Rhône).

Finale : interminable, sur l'orange amère, une des plus longues que j'ai vues à ce jour sur des blancs secs.

Note : 18,5/20.

P1010904

 

Du même domaine, goûtés en salon les rouges (30% mourvèdre 30% grenache 10% syrah 10% counoise 5% cinsault et terret noir, vaccarèse, muscardin, picpoul, picardan, bourboulenc, roussanne :

- Châteauneuf du pape rouge 2009 : 17,5/20

- Châteauneuf du pape rouge 2003 : 17,5/20

 

Coudoulet de Beaucastel rouge 2010  (goûté lors de la soirée LPV sans thème)

CR de Julien : "Le robe change directement de ton, c'est très dense et profond.
Le nez est très fruits noirs avec beaucoup de mûre. Ca reste frais avec du menthol, de la réglisse et un coté poivré.
Pour la bouche, c'est puissant, épicé, assez tannique. Un légère amertume est présente en fin de bouche. A attendre un peu peut-être, mais c'est déjà très prometteur."

beaucastel

 

 

Soirée LPV Rhône 2 :

Beaucastel - CdP rouge 2001 : robe plus claire, plus évoluée aussi. Fruits un peu moins noirs, mais plus cuits, confiture de fraise, bonne fraîcheur mais les tannins sont trop raides en bouche. L'ordre ne l'a pas aidé en plus. Finale asséchante. Sans être mauvais, c'est un peu décevant vu l'étiquette.

Beaucastel - CdP rouge 2001 : très poussiéreux, problème de bouteille a priori. 

Beaucastel – CdP blanc 2005 : couleur or pâle, nez plus mûr que Rayas, plus sur la pêche et l’abricot. Bouche plus grasse, moins en finesse, mais elle a elle aussi une bonne fraîcheur, finale a peine moins longue et moins tendue. Il souffre un peu de la comparaison mais c’est pourtant un beau vin. TB-.

 

Beaucastel - CdP blanc Roussanne VV 2005 : Robe dorée, nez de liquoreux avec beaucoup de miel, de l’ananas, des fruits exotiques, moins bien en bouche où le vin semble lourd, avec pas mal d’alcool et d’amertume là aussi. Regoûté sur les fromages servi plus frais, l’aromatique part sur la poire, les fruits blancs, la bouche semble plus fraîche, bien mieux. Au final quand même une petite déception à la vue de l’étiquette. TB-.

 

Beaucastel - CdP Roussanne VV 2003 : couleur or profond, nez sur le miel, l'ananas, les fruits exotiues, superbe. Bouche épaisse, fruits exotiues, miel, pas une grosse acidité mais quand même juste ce qu'il faut pour ne pas être lourd, très long. TB++.

 

Beaucastel - CdP Roussanne VV 2007 : couleur or profond, nez miel et pointe sous-bois, déjà évolué, bouche opulente, grasse, pas trop lourde, assez longue, mais manque un peu de peps à mon goût. TB.

 

Roussanne VV 2010 : bien miellé et fruits jaunes, élégant, pas trop lourd sur ce millésime, commence à bien se goûter. TB+. Une autre bouteille avait un nez magnifique, mais la bouche manquait un peu d'acidité. TB. Une troisième très fruitée, bouche assez fine. TB+.

 

Famille Perrin - Vieille Ferme Ventoux 2017 rouge : robe rubis, nez sur les fruits rouges confiturés, gourmand, idem en bouche, fruitée, légère, elle finit malheuruesement sur une pointe d'alcool et un peu de gaz. B-.

 

Famille Perrin - Rasteau 2018 : assez clair en couleur, fait grenache légèrement confituré, simple, pas très épais, reste frais, facile. B.

 

Famille Perrin - côtes du rhône blanc nature 2018 : clair en couleur, nez réglisse, peche, abricot, bouche avec un peu de vivacité à l'attaque (élevage court en cuves) puis finales très courte un peu lourde sur la réglisse. B-.

 

Château de Beaucastel - Châteauneuf-du-Pape blanc 2016 : (80% roussanne, 15% grenache blanc, + picardan, clairette et bourboulenc) Couleur or pâle, nez légèrement beurré, sur le miel, les fruits jaunes. Bouche grasse, opulente, plus florale que le nez, avec juste ce qu'il faut d'acidité pour ne pas tomber dans la lourdeur. Un grand classique au niveau attendu. TB.

 

19 février 2014

Masciarelli (Abruzzes) ****

Masciarelli - Trebbiano d'Abruzzes DOC 2011

 

Couleur : jaune paille.

Nez : très fruité, un peu de fruits verts (plutôt pomme), citron, et agrumes, pêche (comme dans un Muscat d'Alsace).

Bouche : très fraîche, légèrement perlante, assez vive et acide, fruitée (pêche et agrumes surtout).

Finale : longueur moyenne.

Note : 15/20. Bon rapport q/p à 6€.

P1030011

 

Cépage : 100% Trebbiano (cépage plus connu en France sous le nom d'Ugni blanc qui sert à produire les cognacs et les armagnacs)

 

Le domaine Masciarelli a été crée en 1981 à San Marino sulla Marrucina (un peu au sud de Pescara et de Chieti). Depuis la mort de Gianni Masciarelli en 2008 ce sont sa femme et sa fille qui dirigent le domaine, avec le vigneron Romeo Taraborrelli. Ils possèdent aujourd'hui 420 hectares dans les Abruzzes et produisent des Trebbiano, des Cerasuolo, des Montepulciano, mais aussi des vins à base de Merlot ou de Chardonnay.

 

Publicité
Publicité
17 février 2014

Gentile (Saint-Florent) ***

Soirée LPV Rhône n°2 :

D. Gentile, Vin de Liqueur non millésimé "Rappu" : (muscat à petits grains, nielluccio, grenache), couleur ambre foncé, nez sur le raisin de Corinthe, l'abricot sec, le rancio, pommes au four, épices. Bouche moyennement sucrée, puissante, ça semble assez vieux, bonne acidité. Bon VdN.

gentile rappu

 

Gentile - Patrimonio blanc 2011 : (100% malvoisie) Couleur or, nez sur la poire, la brioche, assez sympa. Bouche avec un beau volume, poire et brioche aussi, légèrement citronnée, mais manque de tension. B.

 

17 février 2014

P. & J. Coursodon (Mauves) ***

Goûtés au Bon Cellier :

Saint Joseph rouge Silice 2011 : très frais, fruité, mais manque de longueur et de complexité. Bien-

L'Olivaie 2011 : plus puissant et plus épicé que le précédent. Bien-

La Sensonne 2011 : plus fruité que le précédent, bel équilibre avec de la fraîcheur, tannins souples, il sera vite prêt à boire. Bien+ (mais cher). (+- 16,5-17/20).

Le Paradis Saint Pierre 2011 : plus puissant, plus de matière que les autres, plus tannique, à besoin de s'assouplir encore un peu. Bien+ (mais trop cher).

coursodon

 

Soirée LPV Rhône 2 :

7 - Coursodon - St Joseph "Paradis St Pierre" 2007 : couleur noire et contours violets là aussi, nez très marqué crême de cassis, confiture de mûre. En bouche les tannins sont beaucoup plus fins que dans "Auro Rousso", très belle texture, un peu plus de fraîcheur. Joli vin, même si c'est pas trop mon style.

 

Coursodon - St Joseph Paradis St Pierre 2012 : Robe sombre, nez bien marqué fruits noirs, un peu de violette. Bouche facile, peu tannique, belle matière,  texture soyeuse, mais une finale un peu trop vanillée, à mon goût. Bien fait, mais dans un style trop moderne, un peu lisse, manquant de caractère mais aussi un peu de complexité. B+.

 

Silice 2018, Olivaie 2018 et Paradis 2018 tous les trois ultra mûrs, noirs, confiturés, dans un style à l'australienne (ou un maury ?), avec en plus beaucoup de bois sur Paradis. De pire en pire...

 

16 février 2014

Gourt de Mautens - Jérôme Bressy (Rasteau) ****

Goûtés au Bon Cellier :

Rasteau blanc 2010 (IGP Vaucluse depuis peu) : le nez fait de suite penser à un champagne ou à une liqueur de champagne, avec des notes de pain grillé, de brioche, des fruits confits. La bouche présente une bonne matière, et une belle longueur sur les fruits confits. TB et très original. (+- 17,5/20).

Rasteau rouge 2007 : bouteille ouverte 12h à l'avance, vin très fruité, sur des fruits à l'eau de vie (prune, cerise). Puissant mais on ne sent pas du tout l'alcool, belle finale. TB. (+- 18/20).

Rasteau rouge 2009 : très différent du précédent, beaucoup de tertiaire au nez, des notes animales, cuir, étable, très étonnant. Bouche puissante, fruits cuits, et toujours du tertiaire, vin très sauvage mais très bien fait. On se demande ce qu'il va donner dans quelques années. TB aussi. (+- 18/20).

gourt

 

Soirée LPV Rhône 2 :  

8 - Gourt de Mautens - Rasteau 2006 : encore un vin bien noir, très marqué cassis lui aussi, un peu plus tannique que le précédent. La bouche est assez sucrée. Bonne longueur. Joli vin, mais difficile à accorder, et difficile aussi de passer derrière à cause du sucre. J'avais un peu mieux goûté 2007 et 2009.

 

Gourt de Mautens, IGP Vaucluse blanc 2012 : (picpoul, bourboulenc, picardan, roussanne, marsanne, viognier, clairette, grenaches blanc et gris) Robe dorée, nez réduit qui rappelle le vin du Mas del Périé, là aussi on reconnait plus le travail sur la réduction que la région. Bouche intéressante, plus tendue, moins opulente que par le passé avec ce domaine. Merci Olivier pour la bouteille.

 

Gourt de Mautens - Blanc 2014 : étonnamment très frais, 13,5% d'alcool sur ce millésime, marqué autolyse, voire un peu nature, me rappelle des styles comme Ganevat. Assez incompréhensible, mais très bon. TB+.

 

16 février 2014

Julien Pilon (Condrieu) ***

Julien Pilon - Crozes-Hermitage blanc "cuvée Nuit blanche" 2012 (100% marsanne) : très beau nez d’agrumes, un peu de miel, bouche assez fruitée, manque un peu tension et longueur, mais c'est bien fait. B+.

St Joseph blanc 2012 "Un Dimanche à Lima" (roussanne et marsanne) : l’élevage en barrique se sent ici, un peu de bois au nez, bouche grasse, manque tension, un peu d'amertume. B-.

VdP des Collines Rhodaniennes Viognier "Mn Gd Père était limonadier" 2012 : (seul vin élevé en cuves, en 2010 Julien Pilon vinifiait dans le garage de son grand-père, qui était limonadier) nez frais, fruité, abricot, floral, classique, bouche fruitée, assez fraîche, simple mais efficace. B+.

VdP Collines Rhodaniennes Viognier Seyssuel "Frontière" 2012 : un peu de bois, bouche peu fruitée, grasse, manque tension, le vigneron lui-même ne semble pas totalement satisfait de cette cuvée, il voudrait faire ses Viogniers dans le style du Condrieu Lône, plus frais avec plus de minéralité. B-.

Condrieu "Lône" 2012 : on a le gras, pas de bois, beau fruité, notes florales, plus de profondeur et de complexité, plus long, reste frais, déjà prêt. Un vigneron à suivre... TB- (+- 16,5/20).

Frontière 2011 : (bu en 2018) très doré, beaucoup de miel, tilleul, floral, encore un peu d'élevage, très gras, manque de fraîcheur, typé roussanne, à peine amer en finale. Un peu lourd à mon goût. B.

Saint-Péray 2013 : (bu en 2018) robe dorée, nez beurré, vanillé, à l'élevage très "bourguignon". Bouche grasse, lourde, manquant de tension et de pureté. B-.

pilon

 

Bu lors de la soirée LPV Rhône 2 :

1 - Julien Pilon - "Mon Gd Père était limonadier" VdP Collines rhodaniennes 2012 : couleur assez claire, nez sur l'abricot, les fleurs blanches, un peu de litchi peut-être, violette. Bouche très florale, manque un peu de tension. Très légère amertume en finale. Longueur moyenne. Sympa là aussi.

 

Julien Pilon, Saint-Joseph blanc Dimanche à Lima 2022 : couleur bien dorée, nez de fruits mûrs, abricot, pêche, floral, joli mais fait craindre une certaine surmaturité en bouche. Pas du tout, la bouche a gardé une bonne fraîcheur pour 2022, moins exubérante que le nez, élégante. Déjà prêt à boire. Merci Denis ! TB.

 

14 février 2014

Weinbach - C. C. & L. Faller (Kaysersberg) *****

Domaine de 37 hectares en biodynamie, aujourd'hui dirigé par Catherine Faller et ses deux fils, Théo et Eddy. En sec comme sur les quelques cuvées sucrées, le terroir est toujours parfaitement respecté, les vins sont précis, racés, et vieillissent admirablement.

 

Weinbach - Furstentum GC Gewurztraminer 2008

Couleur : paille.

Nez : un peu fermé, même après quelques heures d'ouverture, notes terpéniques, pamplemousse, fruits jaunes, une petite pointe de litchi dans le fond. Mais on sent que le vin ne se livre pas complètement.

Bouche : attaque vive, puissante, minérale, grosse acidité qui équilibre bien les sucres (impression d'une cinquantaine de grammes), pas mal d'épices, toujours sur le pamplemousse, les agrumes, notes florales dans le fond. Pas une grosse matière, sans être fluet non plus.

Finale : très bonne longueur, fraîche et minérale, loin de la lourdeur rose/litchi de certains gewurz.

Note : 17,5/20. Très bon vin, malheureusement encore un peu sur la retenue, il devrait être excellent dans quelques années.

P1050360

 

Catherine Faller-domaine Weinbach, Alsace Pinot Gris Réserve Particulière 2016 : Robe un peu plus dorée, nez très engageant sur la pêche, l'abricot, le miel. Bouche très facile, à peine sucrée mais bien équilibrée par une fine acidité. Moins de longueur que le précédent mais beaucoup plus consensuel. TB-.

 

Weinbach - Riesling Grand cru Schlossberg 2015 : Couleur or pâle, nez sur la résine, le pétrole, les agrumes, des notes florales. Bouche dans la suite du nez, qui manque juste d'un peu de tension pour être parfaite, effet millésime chaud probablement. TB.

 

Weinbach - Pinot blanc 2013 : nez de fruits blancs, notes florales, épices. Bouche facile, manque un peu de tension, assez courte. B+.

 

Weinbach - Pinot gris clos des capucins 2018 : beau ez avec des fruits exotiques, des épices, du floral, bouche puissante en alcool où les 14,5% se sentent bien, manque un peu de tension et de fraîcheur. B.

 

Domaine Weinbach, Grand Cru Schlossberg riesling 2018 : (granit. 5,11gr SR) Nez à peine marqué pétrole/résine, surtout beaucoup de fruits, à peine exotique et miellé, agrumes. Bouche qui garde une jolie acidité pour 2018, beaucoup de fruits, gourmande, avec une finale salivante, de petits amers. TB+.

 

13 février 2014

Brooklyn Brewery (USA, NY) **

Brooklyn Brewery - Sorachi Ace 7,6% : saison avec du houblon sorachi ace. Couleur or pâle, mousse blanche abondante et épaisse. Le nez est citronné, sur les levures, quelques notes épicées. Bouche sèche, bonne amertume, beaucoup de levure, un côté "paic citron" un peu désagréable. Longueur moyenne, peu aromatique, sur l'amertume. Un peu décevante au final. Note : 14/20. (Notée 3,73 sur Ratebeer).

brooklyn

 

9 février 2014

Pithon-Paillé (Beaulieu-sur-Layon) ***

Pithon-Paillé - Anjou blanc "La Fresnaye" 2008 : couleur or, nez très expressif, fruité, sur le coing surtout, avec des notes de noisette et un peu de noix. Bouche vive, tendue, très fraîche, toujours pleine de fruits mûrs (coing), et un peu de noisette. Il lui manque juste un peu plus de matière. Finale de bonne longueur, fruitée, avec une bonne acidité. Très beau chenin, à son apogée. Note : 16,5/20.

pithon paille

 

9 février 2014

Clos de Mez (Fleurie) **

Clos de Mez - Fleurie "La Dot" 2010 : couleur assez sombre pour un beaujolais, nez peu expressif, sur les fruits rouges, un peu de mûre, et des notes vanillées. En bouche le vin ne se livre pas complètement non plus, bonne matière mais les tanins sont encore un peu raides, l'élevage un peu trop présent, le fruit en retrait, bonne acidité. Finale de bonne longueur. Un vin un peu trop jeune, mais avec un bon potentiel. Note : 15/20.

clos de mez

 

8 février 2014

Château Lafite-Rothschild (Pauillac) *****

Visite du Château Lafite-Rothschild

lafite

P1050321

 

Rdv pris par mail environ 2 mois à l'avance. Les visites ne se font pas par groupes chez Lafite, nous sommes donc seuls avec le guide. On commence par un topo sur l'histoire du domaine et sur la famille Rothschild face aux vignes. Le domaine possède presque 120 hectares, avec une part très importante de cabernet sauvignon, un peu de merlot, de petit verdot et depuis peu quelques plants de Malbec. Les parcelles sont un peu plus éparpillées qu'à Pontet-Canet, avec notamment quelques vignes (4,5ha) sur la commune de Saint-Estèphe. Le domaine possède une dérogation qui lui permet d'intégrer ces raisins dans son vin d'AOC Pauillac.

P1050320

 

La visite continue avec les cuveries, un premier chai, une partie de la cave et des galeries souterraines. Les employés sont en train de finir le soutirage et le collage. La vinification est ici beaucoup plus classique que chez Pontet-Canet (vendanges en vert, taille des vignes, filtration, collage...) Le grand vin passe entièrement en barriques neuves 18 à 20 mois, le second vin "Les Carruades de Lafite" en barriques d'1 vin. Environ 300 000 bts de Lafite sont produites par an, 400 000 de Carruades, plus quelques-unes du 3e vin. Il y en aura évidemment bien moins en 2013 où les rendements sont tombés de 45hL/ha en moyenne à un peu plus de 30hL, soit encore moins qu'en 2003.

P1050325

P1050329

P1050332

 

Puis passage dans le grand chai, imaginé en 1985 par l'architecte Ricardo Bofill et inauguré en 1987. Un concert de musique classique y est donné une fois par an pour l'acoustique exceptionnel du lieu. A noter que depuis 3-4ans le domaine ne remplace plus les bouchons des bouteilles des particuliers à cause des trop nombreuses contrefaçons.

P1050333

1391797356984

 

La dégustation d'un Lafite 2001 se fait à l'intérieur du chai, à la lueur des bougies. C'est un millésime qui présente un bon "compromis" entre des vins qui seraient trop jeunes, et des vins plus vieux qui commencent à se faire rares. C'est aussi un millésime sous-estimé, bien plus abordable financièrement que 2000 par exemple, et qui commence à donner beaucoup de plaisir (alors que 2000 ne sera pas prêt avant 10-20ans).

Enfin la sortie du chai. L'achat n'est pas possible au château. Au final, une très belle visite d'une bonne heure. Comme pour Pontet-Canet, c'est un vrai privilège de pouvoir être accuielli de la sorte dans ces grandes propriétés (gratuitement là aussi).

1391797312106

 

Lafite-Rothschild 2001 : (près de 89% de cabernet sauvignon) couleur sombre, pas de traces d'évolution. Nez expressif, sur les fruits noirs (cassis surtout), le cèdre, très légèrement épicé, un peu de tabac aussi. Bouche d'une grande finesse, avec des tanins présents mais soyeux, pas de bois, une très belle acidité qui étire le vin. Sans être fluet le vin ne me semble pas non plus très épais. Finale très longue, très fraîche, fruitée. Un vin déjà excellent, pourtant pas encore tout à fait à son apogée. Il possède la fraîcheur qu'il manquait à Chevalier 2001 par exemple, la "tension" et la classe des grands cabernets sauvignons qu'il manquait à Latour et Mouton 2004, mais il joue moins sur la texture, il est par là plus proche d'un Margaux 2003 ou de Pontet-Canet 2007, des vins "en longueur". Le potentiel de garde est très élevé, il devrait être magnifique dans 15-20ans. Note : 18,5/20.

lafite r

 

8 février 2014

Pontet-Canet (Pauillac) *****

Visite du domaine

P1050313

 

Rdv pris par téléphone presque 2 mois à l'avance. La visite se fait par petits groupes en général (7-8maximum), mais suite à un désistement nous nous retrouvons seuls avec la guide. Parfait, nous pouvons poser toutes nos questions ! On commence par une petite présentation historique du domaine et de la famille Tesseron. La personne habituellement chargée de faire les visites étant absente, nous devons laisser tomber la balade dans les vignes en Club car, ce n'est pas plus mal vu le froid. Nous avons quand même le droit à une présentation du vignoble (80 hectares, quasiment d'un seul tenant le long du château, les cabernets sauvignons sont majoritairement devant sur sols de graves, les merlots plutôt au fond sur sols argilo-calcaires), et à un topo sur la biodynamie.

1391797414736

 

Le domaine a commencé sa conversion en biodynamie en 2004, mais en 2007 à cause des mauvaises conditions climatiques et du mildiou quelques traitements non bio ont été faits. La période officielle de 3ans de conversion a donc dû recommencer pour s'achever en 2010. Quelques techniques marquantes (et différentes de Lafite), pas de vendanges en vert, les vignes ne sont pas rognées, sur 30% du vignoble pas de machines mais uniquement des chevaux (il en faudrait beaucoup plus pour pouvoir faire les 80 hectares), les machines (notamment pour que les chevaux puissent passer entre les vignes) ont été entièrement pensées et dessinées au domaine, 2 vaches viennent d'arriver (la bouse sert aux préparations bio). C'est là aussi loin d'être suffisant pour 80 hectares, mais le domaine tend à devenir une "entreprise autosuffisante". Ensuite pas de filtration ni de collage au blanc d'oef contrairement à Lafite.

Le domaine pense pouvoir progresser encore beaucoup au niveau du travail de la vigne, alors que tout ce qui était possible ou presque a été fait en ce qui concerne les méthodes de vinification.

Nous passons désormais dans les cuveries, ancienne (cuves bois) puis moderne (cuves béton).

P1050298

P1050300

P1050297

A l'étage, les tables de tri sur roulettes permettent de faire tomber les raisins directement dans les cuves de fermentation, le but étant qu'il y ait le moins d'intermédiaires et d'interventions possibles entre le raisin et la cuve puis le fût. Puis nous passons dans le chai, avec un côté pour les barriques bordelaises (225L) et l'autre pour les 100 nouvelles amphores jaunes (900L). Ces dernières permettent de laisser passer un peu d'air contrairement aux cuves inox par exemple, sans boiser le vin contrairement aux barriques neuves. La forme est étudiée pour qu'il n'y ait ni trop ni pas assez de lies au fond de l'amphore. A l'intérieur du béton, des graves ont été mises pour les amphores de Cabernet, du calcaire broyé pour celles de merlot. Le millésime 2012 contient 50% de vin élevé en amphore, de la barrique neuve et de la barrique d'1 vin.

A noter que la récolte 2013 a été très faible, à cause de la pluie surtout. Le domaine est plutôt satisfait des premiers résultats au niveau qualitatif, mais il ne faut pas s'attendre au millésime du siècle sur Bordeaux en général.

P1050302

1391797394550

 

Après les chais, passage rapide dans la cave souterraine, puis la dégutation du grand vin sur 2007, millésime "accessible" en ce moment. L'achat au domaine est possible si l'on y tient vraiment à prix caviste "normal" (nous n'avons pas demandé les prix exacts)  depuis quelques années, mais c'est surtout pour les étrangers qui auraient du mal à trouver du vin chez eux, bien plus que pour les visiteurs français. Au final la visite aura duré une bonne heure, l'accueil était plus que satisfaisant, un très beau moment. Merci au domaine de permettre ce genre de visites, entièrement gratuites qui plus est.

P1050310

 

Pontet-Canet 2007 : (bouteille débouchée au moment de la dégustation) couleur assez sombre, pas encore évoluée, nez très expressif, sur les fruits rouges et noirs, assez classique, pas encore de notes tertiaires. La bouche est très fruitée, légèrement épicée, vive, avec une belle acidité, les tanins sont présents mais pas du tout agressifs. Bonne puissance, mais de la finesse en même temps. Finale de bonne longueur, fraîche. Si on doit trouver un défaut, il n'a pas la complexité de Lafite 2001 bu juste après mais c'est un vin encore très jeune et sur une année plus compliquée. Très convaincant, surtout pour un "petit millésime", bien plus que le 1990. Note : 17,5/20.

 

 

 

Pontet-Canet - Pauillac 1990

Couleur : grenat, reflets tuilés. Légèrement évoluée.

Nez : bouteille ouverte 8h à l'avance (sans carafe). C'est expressif, pas vraiment austère, avec des arômes assez classiques de tabac, de bois, de cacao et un peu de terre. Un tout petit peu de fruits noirs également. Très bien, la meilleure partie du vin.

Bouche : on retrouve les arômes du nez, c'est expressif, mais le vin manque d'acidité. Du coup il manque de fraîcheur et il manque une trame pour soutenir le vin, surtout qu'il manque de puissance. Le fait de passer derrière un Teroldego 2009 de Foradori ne l'a pas aidé, le Pontet-Canet étant moins fruité, moins frais, moins acide et moins puissant. C'était un tout petit peu mieux avec le second verre et le lendemain. Mais j'ai vraiment eu l'impression d'un vin sur sa fin. Sinon les tannins sont bien fondus, la matière est correcte.

Finale : longueur moyenne, manque d'acidité, sur le tertiaire, très peu de fruit.

Note : 15,5/20 Le nez était très bien, la bouche a manqué d'acidité et de puissance. Un vin sur sa fin. On pouvait s'y attendre en voyant le prix si peu élevé pour un 1990.

chateau_pontet_canet_1990

 

Pontet-Canet - Pauillac 2009 : Robe très sombre aussi, nez sur un élevage gourmand, coco, vanille, barbe à papa, qui doit encore s'intégrer. La bouche est magnifique, épaisse, soyeuse, très fraîche, très longue, beaucoup de fruits noirs, moins d'élevage qu'au nez, déjà bien épanouie en l'état. TB+.

 

8 février 2014

Vieux Télégraphe (Bédarrides) ***

Domaine de 147 hectares appartenant à la famille Brunier, sur Châteauneuf et Gigondas. Style sur la puissance et très mûr.

 

 

Vieux Telegraphe - Chateauneuf du Pape 2008 : (65% grenache, 15% mourvèdre, 15% syrah, ...) couleur entre rubis et grenat, nez très expressif, sur la cerise, un côté compoté, un peu de caramel, pruneau ?, très gourmand. Bouche très puissante, voire un peu alcooleuse en finale, très légèrement épicée, encore un fruit très compoté, presque trop, mais une bonne acidité l'empêche de tomber dans la lourdeur. Tanins présents mais assez fins, un peu fluet. Bonne longueur. Moins convaincant que Charvin 2008. Note : 16/20.

vieux tel

 

Les Pallières Au pett bonheur 2022 rosé : plus blanc que rosé, gras, un peu lourd.

Clos roquète chateauneuf blanc 2021 : chateauneuf sur le gras avec de l'élevage mais finale pas trop lourde, reste bien équilibré.

Les Pallières Gigondas terrasse du diable 2019 : assez puissant, massif, tannique

Châteauneuf 2020 Vieux Télégraphe : (la crau) assez classique, puissant, épicé, du fond, finale qui reste fraîche, pas trop cuit pour vieux télégraphe, à attendre un peu mais très bien fait, beau potentiel. TB+.

 

Brunier Vieux telegraphe - L'Hippolyte Châteauneuf du Pape 1995 : (cuvée expérimentale 1/3 grenache 1/3 syrah 1/3 mourvèdre) Couleur sombre encore jeune, superbe nez fruits rouges et noirs un peu sucrés, épices, garrigue, floral, encor jeune, bouche suave, qui combine gourmandise, volume et fraîcheur, en pleine forme et fondu à la fois, très long, puissant mais parfaitement équilibré. TB++

 

Vieux Télégraphe - Châteauneuf blanc 2005 : couleur dorée, nez assez mûr, ananas, une touche végétale. Bouche pas très haute en alcool pour le domaine 13,5%, acidité assez élevée, encore jeune, belle surprise. TB.

 

1 février 2014

Leyris Mazière (Cannes-et-Clairan) ***

Leyris-Marière - Alicante 2010 : (80% alicante, 20% carignan), robe très sombre, fruits noirs, épices, assez puissant mais tanins fins, belle matière et bonne longueur. TB. (+-17/20).

"Vendanges Tardives" 2007 : (60% grenache, 40% syrah), robe ambre foncé, nez sur les raisins secs, l'abricot sec, la noix, la bouche fait beaucoup moins sucrée que le nez, un côté xeres oloroso, avec beaucoup de noix, assez frais. TB-. (+- 16,5/20).

leyris

 

25 janvier 2014

Buxton (UK) ****

Buxton - Axe Edge 6,8% : (73IBU, houblons amarillo, citra, nelson sauvin) couleur dorée, mousse blanche assez épaisse pour une IPA, superbe nez expressif et très exotique, litchi, passion, kiwi, agrumes. La bouche est dans la même lignée, très exotique, légères notes caramélisées dans le fond, un peu plus d'agrumes, légèrement résineuse. Bonne longueur, les 73IBU passent tout seuls. Très belle IPA. Note : 17,5/20.

buxton

Bière notée 3,79 sur Ratebeer. Brasserie classée 52e meilleure brasserie du monde en 2013.

 

25 janvier 2014

Domaine de Cazaban (Conques-sur-Orbiel) ***

Cazaban - "Les Petites rangées" 2008 VdP des Côtes de Lastours : (50% syrah, 50% merlot), couleur entre rubis et grenat, contours violets. Un tout petit peu de réduction à l'ouverture mais elle disparait complètement après 1h de carafe, le nez est moyennement expressif sur les fruits noirs et les épices. La bouche est très fruitée, très fraîche, avec de la mûre, des fruits rouges, un côté garrigue, des tanins présents mais soyeux. Très longue finale. Superbe entrée de gamme. Bon rapport q/p (10,40€). Note : 16/20.

cazaban

 

24 janvier 2014

Domaine Pique-Basse (Roaix) ***

Pique-Basse - Côtes du Rhône villages Roaix "L'as de pique" 2012 : (80% grenache, 10% syrah, 10% mourvèdre), couleur grenat, contours violets. Nez sur les fruits noirs (cassis surtout), un peu de cerise, et notes épicées. Bouche puissante, très épaisse, matière énorme, tanins présents mais bien fondus, encore sur les fruits noirs avec un peu d'épices. Bonne longueur. Très léger manque de fraîcheur si on doit lui faire un reproche. Joli vin, bon rapport q/p. Note : 15,5/20.

pique basse

 

Publicité
Publicité
Publicité